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http://amateurdechien.ning.com/forum/topics/wy-stop-giving-your-dog...

autre lien intéressant

http://www.barf.ch/barf/index.php/les-mythes/52-mythe-les-croquette...

http://www.carevox.fr/sante-des-animaux/article/croquettes-pour-chi...

http://amateurdechien.ning.com/forum/topics/switching-your-dog-s-di...

extrait du guide BARF

Les céréales étant la principale source d’hydrates de carbone dans les différents aliments de consommation courante, leur ingestion massive oblige le pancréas du chien à travailler de longues heures à un rythme élevé afin de dégrader un maximum de glucides. Outre qu’il est éprouvant pour le pancréas, ce travail ralentit l’ensemble du processus digestif. Il entraîne la stagnation des aliments au niveau de l’estomac, puis de l’intestin grêle, où ils vont fermenter de longues heures, ce dernier n’étant pas en capacité de les absorber correctement. Ces résidus alimentaires non absorbés pénètrent alors dans le gros intestin (côlon), où une flore microbienne très abondante les dégrade sous forme de gaz, qui seront évacués. Les conséquences pathologiques les plus fréquentes de ce phénomène sont les flatulences et les diarrhées, la mauvaise haleine, les inflammations du pancréas, une prédisposition aux torsions d’estomac et les cancers du système digestif. Les aliments secs, appelés « croquettes » par les francophones européens et « moulées » par nos amis canadiens, sont destinés à être servis au chien tel quel. Ce type de produits est aujourd’hui le plus représenté et le plus vendu parmi les différents aliments industriels pour chiens et chats, en raison de son faible coût de fabrication et d’achat (par rapport aux boîtes, tout du moins) et de la facilité de stockage et d’utilisation qu’ils représentent. Il existe une très grande variété de croquettes sur le marché. Certaines sont commercialisées dans les rayons de différentes enseignes de la grande distribution (super et hypermarchés), d’autres ne se trouvent que dans les boutiques spécialisées, les coopératives agricoles ou les cabinets vétérinaires. Les prix, quant à eux, font le grand écart. De 20 centimes d’euros à 10 euros le kg pour certains aliments vétérinaires, il y en a pour tous les portefeuilles. Mais quelle différence existe-il entre ces différents produits ? Concrètement, vous avez sur le marché cinq gammes de croquettes différentes : les aliments bas de gamme, sans mention particulière sur l’emballage quant à leur qualité, les aliments de milieu de gamme, reconnaissables à la mention « aliment de qualité supérieure » sur l’emballage du produit, les aliments hauts de gamme, portant la mention premium ou super premium sur l’emballage et les aliments vétérinaires (à ne pas confondre avec les aliments premium ou super premium distribués par des vétérinaires), à visée thérapeutique (pour chiens souffrant, par exemple, d’insuffisance pancréatique, de troubles rénaux etc.). Vous trouverez facilement des aliments bas et milieu de gamme dans les épiceries de quartier, les superettes et les grandes surfaces, ainsi que dans certaines coopératives agricoles. Les aliments haut de gamme s’achètent dans les animaleries, les grandes surfaces spécialisées, la plupart des coopératives agricoles et les cabinets vétérinaires. Les aliments vétérinaires sont vendus sur prescription médicale, par les vétérinaires uniquement. Leur composition est adaptée à la pathologie de l’animal. Si on exclut les aliments vétérinaires, la différence entre le bas, le milieu et le haut de gamme se situe au niveau du ratio produits d’origine animale et produits d’origine végétale, ainsi qu’au niveau de la qualité nutritionnelle des différents ingrédients. Autrement dit, plus vous montez en gamme, plus vous trouvez de protéines animales dans les aliments et plus la qualité de ces protéines animales est élevée. La qualité des protéines se mesure à leur digestibilité. Plus elles sont assimilables, plus elles profitent à l’organisme de votre chien. De manière générale, les protéines de meilleures qualité sont fournies par la viande, c’est-à-dire la chair, ou muscle, de l’animal. Pour mieux comprendre, il est essentiel de connaître la signification des termes les plus fréquemment employés par les industriels, ainsi que les obligations légales des fabricants en terme d’information produits. Les conséquences d’une alimentation industrielle sur la santé de nos animaux Le propre des aliments industriels est d’être fabriqué en série. Malgré de prometteuses mentions sur l’emballage, ils ne sauraient donc être adaptés aux « besoins spécifiques de chaque chien ». A l’heure actuelle, bon nombre de chiens souffrent de problèmes de peau plus ou moins importants toute leur vie durant, de simples démangeaisons aux eczémas chroniques. Ces problèmes cutanées peuvent être les symptômes de différentes pathologies ou agressions extérieures, telle que la pollution, les insecticides, des champignons (teigne) ou des parasites externes (gale, puces, aoûtats), ou bien encore des allergies alimentaires. Avec l’allergie à la salive de puce - se manifestant chez les chiens non ou mal déparasités - les allergies alimentaires sont les causes les plus fréquentes d’eczéma chronique chez le chien. Ce sont aussi les plus fréquemment sous-diagnostiquées par les vétérinaires; et la plupart des maîtres, démunis face au problème de leur animal, finissent par se résigner à des traitements à vie plus ou moins lourds, de la simple lotion apaisante aux injections de cortisone. Pourtant, une mauvaise qualité du poil, des pellicules, un prurit généralisé persistant apparus sans qu’aucune pathologie ou agent extérieur n’ait pu être identifié doit faire penser à une hypersensibilité alimentaire. Cela est d’autant plus vrai si l’on vient de modifier la marque ou le régime alimentaire de son compagnon à quatre pattes, même si, comme chez les humains, une allergie peut survenir à n’importe quel moment de l’existence, parfois sans qu’il y ait eu modification de l’environnement ou des habitudes alimentaires. Quelle est la cause physiologique d’une manifestation allergique ? Une manifestation allergique est un phénomène de rejet de l’organisme, qui cherche à expulser une substance qu’il ne reconnaît pas et qu’il juge en conséquence nocive. L’allergie n’est donc qu’une réaction protectrice du corps contre un envahisseur. On sait que la cuisson prolongée des aliments à de hautes températures modifie leur structure chimique en profondeur. Hors, les aliments industriels pour chiens sont cuits longtemps à de très hautes températures (100° et plus). Certains chiens, suite à l’absorption de ces molécules chimiques rendues étrangères par la cuisson, vont développer une réaction allergique. Une alimentation naturelle crue, ou très légèrement cuite, permet de rémédier au problème. Hormis ce facteur potentiellement allergisant, les effets néfastes de la surcuisson dans l’alimentation canine n’ont jamais été scientifiquement étudiés. Si on soupçonne depuis plusieurs années la cuisson excessive des aliments d’être la cause de cancers chez l’être humain, aucun chercheur ne s’est posé la question de savoir ce qu’il en était des effets de cette surcuisson sur la santé de nos animaux domestiques. Ce que l’on sait en revanche, c’est que la cuisson rend la viande moins assimilable pour le chien, car elle détruit une grande partie des éléments naturels qu’elle contient. Les enzymes digestives présentes dans la viande crue facilitent la digestion et, avec les anti-oxydants, aident à lutter contre les effets du vieillissement. Ces enzymes et ces anti-oxydants sont entièrement détruits par la cuisson. La destruction des enzymes contenues dans la viande fraîche entraîne une fatigabilité accrue des organes digestifs, cause de pathologies comme l’insuffisance pancréatique, le diabète ou la pancréatite. L’altération des anti-oxydants, quant à elle, accélère le vieillissement et favorise l’apparition des maladies dégénératives qui y sont associées, comme le cancer, les maladies rénales et cardiaques ou l’arthrite. Enfin, la cuisson détruit totalement les vitamines fragiles, comme les vitamines A, B et C, essentielles au bon fonctionnement de l’organisme. Ces vitamines, les fabricants d’aliments industriels doivent donc les recréer synthétiquement pour les incorporer à leur produit en bout de chaîne. Parmi les vitamines de synthèse utilisées aujourd’hui existe la vitamine K3 ou ménadione. La vitamine K, essentielle au processus de coagulation sanguine, ne se trouve à l’état naturel que dans une très petite quantité d’ingrédients, raison pour laquelle les fabricants utilisent sa forme synthétique. Il faut pourtant savoir que la ménadione est connue pour ses effets toxiques sur le foie. A telle enseigne que son usage dans les produits destinés à la consommation humaine a été strictement interdit par plusieurs gouvernements dans le monde. L’excès de céréales Indépendamment des transformations chimiques induites par la cuisson et l’ajout de compléments de synthèse, la nature même des matières premières utilisées pour la fabrication des aliments industriels est à la source de nombreux troubles digestifs. Les flatulences quotidiennes, la mauvaise haleine, une très forte odeur de fermentation au niveau des selles, des selles malformées, parfois jusqu’aux diarrhées chroniques, sont les symptômes courants d’une intolérance digestive. De très nombreux chiens présentent ce type de symptômes à des degrés divers et leurs maîtres, en l’absence d’informations, considèrent souvent comme normal l’odeur pestilentielle qu’émet leur animal lorsqu’il excrète des gaz ou de la matière. En réalité, ces troubles sont le signe d’une hypersensibilité digestive extrèmement fréquente aux céréales comme le soja, le blé et le maïs, produits qui constituent la base protéinée et fibreuse des aliments préfabriqués pour chiens. Quelles conséquences l’ingestion massive de céréales a-t-elle sur la santé de nos chiens ? Indépendamment des réactions allergiques qu’elles peuvent provoquer, les céréales contiennent une grande quantité d’hydrates de carbone (glucides) qui modifient le PH de l’estomac (font baisser l’acidité), augmentent la fermentation intestinale (favorisent le développement de parasites internes et la prolifération des gaz) et rallongent le processus digestif (d’où une stagnation des aliments dans le tractus digestif qui constitue un risque accru de pathologies graves comme les torsions d’estomac et les cancers). En effet, comme on l’a vu dans le chapitre précédent (Eléments de biologie canine), la transformation des hydrates de carbone en sucre demande au pancréas du chien un effort très important. Lorsqu’un chien mange quotidiennement une grande quantité de céréales, son pancréas travaille jour après jour des heures durant. Il s’use et se fatigue prématurément, d’où l’apparition fréquente et plus ou moins précoce d’inflammations du pancréas pouvant conduire à une insuffisance chronique et à la mort de l’animal. L’insuffisance pancréatique est d’autant plus redoutable que ses symptômes (selles malformées, pâles et nauséabondes, soif intense, fatigabilité accrue) sont souvent peu spectaculaires et n’amènent pas le maître à consulter en temps et en heure. Elle est donc souvent mal ou non diagnostiquée, alors qu’une alimentation adaptée pourrait prolonger dans de bonnes conditions la vie du chien qui en souffre, de quelques mois à plusieurs années pour les cas les plus précoces. Il n’est jamais trop tard pour bien faire : les régimes maison, à condition qu’ils soient alors élaborés avec l’aide d’un vétérinaire, sont particulièrement aptes à répondre aux besoins d’un chien malade, tout simplement parce que, contrairement aux aliments tout prêts, ils permettent de s’adapter à la problématique de chaque individu.

SUITE DU QUIDE BARF fichier joint autre lien tres interressant

http://www.dogsnaturallymagazine.com/raw-feeding-primer/

http://www.dogsnaturallymagazine.com/the-cooking-of-pet-food/

http://amateurdechien.ning.com/forum/topics/kibble-never-a-good-opt...

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